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définition:
1.La reconstitution historique est une activité fort difficile à définir. Située au confluent de disciplines comme l´archéologie, l´histoire, le théâtre de rue ou le spectacle vivant, elle vise - dans son sens le plus général - à représenter un événement, une époque ou un mode de vie précis. La reconstitution est le plus souvent le fait de passionnés groupes au sein d'associations.
Elle est un phénomène relativement nouveau. Si elle favorise une approche renouvelée de l’histoire, elle permet aussi d’en faire partager le goût au plus grand nombre, car elle est comme un livre d’images qui se présente aux yeux du public. Il est donc important que la reconstitution offre une image aussi proche que possible de la réalité, car elle va jouer un rôle de plus en plus considérable dans la formation d’une culture historique de base, dont l’importance n’est plus à démontrer.
Conçu par John Moses Browning, le Colt Government a été le pistolet de l'armée américaine pendant 74 ans sous l'appellation M1911 de 1911 à 1985.
Particulièrement robuste et fiable dès sa première version, il a été modernisé en 1926 devenant le M1911A1. L'Argentine fut le premier utilisateur étranger du M1911A1 sous la forme du Colt 1927. Les différence entre les M1911 et 1911A1 concernent entre autres la forme du chien. Colt malgré une forte demande militaire n'accorda que deux licences de fabrication. Ainsi la Norvège produisit le M1911 sous une forme légèrement modifiée (arrêtoir de culasse coudé pour le tir avec gants) devenus le Koensberg M1914 Auto Pistol cal 11,25mm (diamêtre pris au plat des rayures). Ce M1914 sera produit sous contrainte pour la Wehrmacht entre 1940 et 1945. De même, la FMAP (Fabrique militaire d'armes portatives) de Rosario produisit le M1927A1 (M1911A1) cal. 11,25mm après 1945 pour armer les policiers et militaires argentins. De nombreux fabricants espagnols (Llama Gabilondo y Cia SA, Star)réalisèrent des copies simplifiées des M1911 et M1911A1, absorbées principalement par l'Amérique latine.
L'arme originale est exclusivement chambrée en .45 ACP, une munition de fort calibre (11,43mm), et fonctionne en simple action. La munition qu'il emploie est une balle de gros calibre lourde et lente qui développe un recul important pour une énergie réduite tout en limitant la capacité de l'arme à 7 coups. Le .45ACP et le Colt M1911 constituent pourtant une tradition américaine qui a de fervents supporters outre-atlantique. À la fin des années 1920, Colt chambra son pistolet en .38 Super Auto (9mm) très prisés en Amérique du Sud (le Colt 38 Super Auto équipant longtemps la police mexicaine).
L'adoption en 1985 du M9 chambré en 9mm Parabellum en remplacement du Colt 1911 a donné lieu à de nombreuses querelles de chapelle. Très répandu sur le marché civil américain, il connaît un grand nombre de clones et de versions customs comme par exemple le P14-45 ou le Coonan .357 Magnum.
Encore très largement répandu au sein de la police ou des unités spéciales et plus encore sur le marché civil, le Colt 1911 dépassera sans difficulté le siècle d'utilisation
Caractéristiques
Le M1 Garand fut le premier fusil semi-automatique réglementaire de l'US Army. Il remplaçait le Springfield 1903.
Il fut créé en 1936 par un employé de l'usine Springfield nommé John Garand. Il pesait environ 4.9 kg et se rechargait par un clip de 8 cartouches de calibre 30-06 (7.62x63mm puis dis^ponible en 7.62). Cette arme robuste reçu un accueil particulièrment favorable par les troupes américaines. Il offrait une cadence de tir respectable, en comparaison du modèle allemand alors répandu (le Mauser Karabiner 98k à répétition manuelle), et une bonne précision. Il était aisé de nettoyer et démonter cette arme individuelle. Seuls points négatifs : sa capacité en munitions était limitée à 8 cartouches et son poid. Il est possible de fixer des grenades à fusils au bout du canon.
L'armée américaine fut ainsi la première armée équipée d'un fusil semi-automatique.
Il en fut produit près de 5,5 millions d'exemplaires aux USA et en Italie ( par Breda et Beretta sous licence dans le cadre de l'OTAN), donc 4 millions de 1936 à 1945. Sa production cessa en 1957, remplacé par le M14
Il ne faut pas le confondre avec la carabine M1, plus légère et qui connut elle aussi une carrière respectable.
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L'inventeur du fusil M1 est un Canadien francophone naturalisé américain. C'est cette naturalisation qui fait que John Graduis Garand est connu mondialement comme John Garand l'américain , mais il naquit au canada . C'est donc dire qu'en sa personne, le Canada-français a aussi son Mikhaïl Kalachnikov (le concepteur de l'AK-47).
Le Garand fut décliné en 3 versions pour armer les GI : sa version de base le M1 (décrite plus haut) et deux modèles pour tireur d'élite, le M1C et le M1D.
Les versions M1C et M1D diffèrent du M1 du fantassin par la présence d'un appuie-joue et d'une lunette de visée (modèle M84). Un cache-flamme (modèle T-37) y est adaptable.
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Garand M1 | |
Pays | États-Unis |
Type | |
Fabricant | Springfield et Winchester sont les principaux fabricants |
Date de création | 1936 |
Munitions | |
Mode d'action | emprunt de gaz |
Cadence de tir | 30 coups/min |
Vélocité | 865 m/s |
Portée pratique | 450 m |
Masse (non chargé) | kg |
Masse (chargé) | 4.9 kg |
Longueur | 1092 mm |
Longueur du canon | 610 mm |
Capacité | 8 Cartouches |
Variantes | M1C, M1D |
La carabine M1 (M1 carbine en anglais) concue par Winchester est la plus prolifique des armes individuelles conçues par les États-Unis utilisé durant la Seconde Guerre mondiale avec 6 332 000 exemplaires construit à la fin de ce conflit.
Sommaire
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C'est en 1937 qu'a commencé, aux États-Unis, la production du fusil M1 semi-automatique ou Garand, un fusil de fabrication Springfield.
Mais en 1940, l'US Army, après un examen de l'équipement de ses unités combattantes, exprima la nécessité de disposer d'une carabine d'un stockage et d'un maniement facile. Plusieurs manufactures d'armement entrèrent alors en compétition et présentèrent leur projet. Le projet Winchester l'emporta et fut retenu sous le nom de carabine calibre 30, M1.
La carabine M1 avait un mécanisme original de fonctionnement par action des gaz et tirait une munition dite .30 carbine (7,62 x , d'une puissance intermédiaire entre celle d'une cartouche de pistolet et celle d'un fusil.
La carabine connut un succés immédiat. Elle était légère et très maniable.
Mais elle présentait un inconvénient majeur inhérente à la nature de la cartouche de faible puissance qu'elle utilisait, la portée pratique efficace n'était que d'environ 200 mètres.
La production en masse commença en septembre 1941 et sa mise en service eu lieu en juillet 1942.
Essentiellement fabriquée à l'origine pour les unités de second échelon comme les unité du Génie ou les transmissions, son emploi s'étendit rapidement à certains personnels du front comme les officiers et les servants des piéces d'artillerie.
En effet, la carabine était plus légère que le fusil M1 et contenait plus de cartouches (15 cartouches de 7.62 mm contre 8), et était très précise.
Les unitées parachutistes en furent équipé et les Marines l'employérent lors des combats dans la jungle des îles du Pacifique.
La Wehrmacht la jugea assez valable pour l'utiliser elle-même sous le nom de Selbstladekarabiner 455 (a), dès qu'elle en eut saisi un assez grand nombre, dans les dernières phases de la guerre en Europe. Elle fut très appréciée par la Waffen SS.
Utilisée dans de nombreux conflits jusqu'aux années 1960 par les forces américaines ou leurs alliés. Elle équipa ainsi hors des États-Unis, en autre, la Belgique, le Sud-Viêt Nam et la France.
Ainsi la carabine M1 arma les soldats français lors des guerres d'Indochine, de Corée et d'Algérie. Elle demeura embarquée dans les avions et hélicoptères français jusqu'à la première Guerre du Golfe. Des forces de police (comme la PJ) la conservèrent jusqu'au années 1990, surtout en raison de sa cartouche de faible puissance qui convient mieux aux circonstances dans lequelles elles doivent intervenir.
De nombreux exemplaires d'une version "civile" sont vendues de nos jours aux États-Unis et en Israël.
Les parachutistes accrochent la sangle d'ouverture automatique (SOA) de leur parachute à un point fixe ou à un câble de l'aéronef ou parfois, pour l'entraînement, ballon). Lors du saut, la sangle se délove et tire le parachute hors de son sac. Lorsque le parachute est complètement sorti, la corde qui le relie à la sangle se casse et la corolle peut s'ouvrir.
Cette technique permet le largage en masse. On peut ainsi, à partir d'un C-141, larguer en un seul passage 120 hommes (60 par porte) pour autant que la zone de saut soit assez grande. La file des parachutistes se succédant par la même porte est appelée stick.
En fait, il y a normalement deux parachutes. Le parachute principal dit dorsal (car placé sur le dos) et un parachute de secours appelé réserve ou ventral. Selon le type, le parachute dorsal a un poids de 11 à 14 kg avec une voilure de 70 à 90 m² soit, ouvert, un diamètre de 7 à 10 m. Le parachute de réserve pèse 5 à 6 kg, s'accroche sur le harnais du dorsal et a une surface d'environ 50 m².
Les parachutes utilisés sont de type rond car ils n'ont pas ou peu de vitesse horizontale. Étant donné la proximité des parachutes lors de leur ouverture, il est souhaitable qu'ils se déplacent tous initialement dans la même direction (celle du vent) afin d'éviter des accrochages.
Certains parachutes sont munis d'une fente et ont une faible vitesse horizontale. Le parachutiste doit alors réagir rapidement à l'ouverture pour contrôler sa direction. Le parachute américain T10 a un comportement neutre à l'ouverture mais devient manœuvrable après enlèvement de goupilles (forks) lors de la descente. Les parachutes manœuvrables permettent d'éviter plus facilement les obstacles à l'atterrissage.
Depuis 1980, l'armée française a mis au point et utilise l'EPI (Ensemble de Parachutage Individuel). La voilure de 74 m² est normalement neutre mais quand elle est sollicitée, elle peut acquérir une vitesse horizontale de 2 à 3 m/sec. Une gaine fixe a été prévue pour protéger l'arme.
A la même époque, l'armée allemande développe le T3-F. Ce système comporte, pour chaque homme, 3 parachutes de 36 m² qui s'ouvrent simultanément. Vu l'improbabilité qu'aucun des 3 parachutes ne s'ouvre, le réserve devient inutile et le largage peut se faire à la hauteur de 80m. Un accident mortel a mis fin à ce projet.
En plus de ses parachutes (20 kg), le parachutiste militaire est chargé de son arme et de son sac. Les sacs très lourds ou les armes encombrantes (mitrailleuses) sont placées dans une gaine que le parachutiste largue pendant la descente. La gaine pend alors à une corde ; ceci afin de réduire le poids et l'encombrement au moment de l'atterrissage. Il n'est pas rare que le parachutiste militaire se retrouve avec 50 kg sur le dos (parachutes + équipement) lorsqu'il monte dans l'avion. Dans le jargon parachutiste, un saut sans équipement s'appelle « saut de sénateur » ou « à poil » !
Le premier parachutiste d'une file (stick) peut être précédé d'un colis parachuté de 50 à 80 kg. Ce parachutiste est chargé de localiser le colis à l'atterrissage. De manière similaire, un colis peut être également largué à la suite du dernier homme.
La vitesse de largage d'avion est de l'ordre de 200 km/h ce qui, pour un délai d'une seconde entre deux hommes, se traduit par un écart de 50 m une fois le parachute ouvert. Dans le cas d'un avion doté de deux portes, le saut opérationnel se fait simultanément par les deux portes, ce qui fait que l'écart théorique entre deux parachutistes est de l'ordre de 25 m. En pratique, il y a parfois des collisions et les parachutistes militaires sont entraînés à les éviter ou à y faire face.
La vitesse de descente est de 5 à 6 m/s (8 avec uniquement le parachute de réserve). La vitesse de descente ne correspond toutefois pas à la vitesse d'atterrissage car il faut tenir compte également de la vitesse du vent. Ainsi la vitesse d'atterrissage peut varier entre 18 km/h (vent nul) et 34 km/h (vent de 30 km/h).
La hauteur (et non l'altitude) de largage normale est de 400 m. L'abaissement, c'est-à-dire la perte de hauteur nécessaire à l'ouverture du parachute est de 50 m. La durée de la descente est de moins d'une minute. Dans certaines situations opérationnelles, le largage peut s'effectuer à 200 m mais l'utilisation du parachute de secours en cas de dysfonctionnement devient alors aléatoire.
L'utilisation de l'arme pendant la descente n'est que de la fiction cinématographique. La durée du saut (moins de 50 sec), la nécessité de manipuler la voilure pour éviter les accrochages et pour préparer l'atterrissage, le peu d'efficacité et même le danger que poserait pour les autres parachutistes l'utilisation de l'arme pendant la descente rendent cette pratique inopportune. Toutefois, il est utile, pour le parachutiste de pouvoir disposer rapidement de son arme après l'atterrissage.
Le largage en masse de parachutistes requiert certaines conditions de terrain. Les zones de saut appelées DZ (de l'anglais Dropping Zone) doivent être suffisamment étendues et ne pas comporter trop d'obstacles (lignes à haute tension, arbres, bâtiments, plans d'eau profonds…). La longueur de la DZ dépend de la longueur du stick (nombre de parachutistes sortant en un passage par une porte). Ainsi, pour un C-130 larguant ses 60 parachutistes (2 sticks de 30) en un seul passage, il faut une DZ de plus de 2 km de long (50 m entre paras d'un même stick + sécurité).
Plusieurs avions peuvent se succéder au-dessus de la même DZ et l'on peut avoir 3 « couches » de parachutistes en l'air en même temps.
Enfer Normand
Les différence entre le casque M1 standard et le casque M2, sont:
-les attaches de jugulaires sont de forme de demi-anneau (D-ring).Ces dernières falicitent du même coup le mouvenent des jugulaires, rallongées, elles disposent chacune d'une pression male destinée à s'encastrer dans les pressions femelles situées et rivetées dans le liner (casque léger) afin de solidariser l'ensemble casque lourd et casque léger.
-Des sangles en forme de A renversé rivetées également sur le liner et munies chacune d'une boucle avec un ardillon afin de recevoir une mentonniére en cuir.
Casque M2 du 506th PIR, 2nd Battalion
Intérieur du casque M2, nous distinguons bien les sangles en forme de A renversé
Pression femellle rivetée sur le liner ainsi la pression male située en haut à droite sur la photo.
BELT CARTRIDGE Calibre 30 M1923, ceinutron-cartouchière
BELT PISTOL M36
BAG, CANVAS FIELD OD M-36, musette
SUSPENDERS BELT M-36, brelage
Bottes de saut
Boussole de poignet de dotation réglementaire utilisée par la paras
Pastille phosphorescente
Boussole réglementaire avec sa pochette en toile